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Je suis Pascal, UI Designer depuis 25 ans.
Je conçois des interfaces mobiles et web propres, rapides à lire, et simples à coder.
Je bosse en solo (ou en équipe), avec Figma, de vrais retours, et zéro fioriture.
Je ne “fais pas du design”, je règle des problèmes d’interface. Mobile, web, système ou identité visuelle : tout commence par l’usage.
Et si ce n’est pas utile… ça dégage.
UI Design mobile-first
Maquettes nettes, scalables, pensées pour les devs et les utilisateurs.
Prototypes Figma
Pas pour frimer. Pour tester, expliquer, faire avancer.
Design Systems
Léger ou costaud. Organisé, maintenable, sans usine à gaz.
Identité UI digitale
Logos, couleurs, typographies pour le produit. Le reste, c’est pour les agences de pub.
Gamification intégrée
Badges, feedback, points, progression. Sobre mais engageant. Pas de feu d’artifice. Juste des interfaces qui donnent envie de revenir.
IA dans le process
Pas pour tout faire. Juste pour aller plus vite là où c’est malin. Je l’utilise comme un vrai outil créatif. Pendant que d’autres font la morale, moi je ship.
Je ne travaille pas “pour des clients”, je collabore avec des gens avec qui le courant passe. Si le sujet est excitant, si les échanges sont francs, et si on peut rigoler un peu en chemin — on est déjà bien partis.
Le reste, c’est du contrat.
Et parfois… un outsider un peu fou, ça m’amuse !
Je bosse vite, bien, et avec les bons outils. Je n’empile pas les réunions, je préfère les fichiers qui avancent.
Tout passe par Figma, du premier wireframe au prototype cliquable. J’utilise l’IA pour accélérer là où c’est malin — pas pour faire le boulot à ma place.
Et j’intègre la gamification quand elle a du sens, même dans une UI noir & blanc. C’est du design, mais c’est pas de la déco.
Noir, blanc, gris. Une ou deux couleurs fonctionnelles.
Le design n’est pas là pour décorer.
Il est là pour guider !
Parce que je ne fais pas du design pour les awards. Je fais du design pour les gens qui cliquent, tapent, lisent, cherchent, agissent.
La rébellion, c’est refuser le joli flou. C’est affiner ce qui compte. Supprimer ce qui distrait. C’est préférer le concret au trendy.
Ce ne sont pas des “cases studies”. Ce sont des projets où j’ai mis les mains dans le cambouis pour faire avancer des produits.
Juste des résultats, du design qui tient debout, et des équipes qui m’ont rappelé.
J’aime le noir, le blanc, les gris bien équilibrés.
Mais si un projet exige de la couleur, je sors la palette sans trembler. Identité de marque, ambiance visuelle, impact émotionnel — la couleur devient un outil, pas un bruit visuel.
Minimaliste, oui.
Mais jamais timide.